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jeudi 3 novembre 2022

Du côté de Saint-Georges d'Oléron…


 Le charme de Saint-Georges-d'Oléron…
 
À partir d'un des plus anciens bourgs d'Oléron,
 
entouré de plusieurs villages typiques de l'île,
 
Chaucre, Sauzelle ( ancienne capitale du sel en Oléron)
 
Domino et sa haute dune boisée et jusqu'au port du Douhet,
 
nous projetons une randonnée légère de 8 km…

Arrêt obligatoire à la cabane à huîtres juste à la sortie du viaduc ;

mollusques marins bivalves que nous dégustons au soleil

tout près des halles et face à l'église Saint-Georges…

Nous sommes sous le charme discret de ce bourg paisible, serein…

Sur la plage de Plaisance

               Plaisance

Dans l’univers hauturier
Le flot se prend à briller,
Et, libre, Aphrodite écume
De cette joie où l’on hume
- Quand on est aventurier -
L’avenir, pour dessiller
 
L’œil qui ne cherche qu’à croire
À cette bonté bizarre
Dont on affuble le bleu
(Qui viendrait tout droit de Dieu)
De l’éther et de la mare
Gigantesque de Pizarre

Où se fourvoieront, naïfs,
De doux intrus - car ces fiefs
À franchir sont difficiles,
Avec si peu - si peu - d’îles,
Qu’ils regretteront les biefs
Dont ils sont plutôt natifs !
 
… Et l’espace immense et libre,
Rugissant ainsi qu’un tigre,
Restera mystère froid
À ces cœurs où la mer croît
Comme rugit l’eau du Tibre,
À la crue allègre. 
                                 - Bigre ! -
                                                    Salus

Mon clocher

 

Quiconque, sans le voir reconnaît son village
En entendant ses bruits qui lui sont familiers.
Chaque ruelle, chaque recoin, chaque passage
Résonne dans son cœur d’un son particulier.

Ainsi dans mon village, les notes du clocher,
Je les reconnaîtrais entre mille, entre toutes.
De colline en colline elles viennent nous chercher,
C’est un peu comme un phare qui nous montre la route.

Elles sonnent pour les joies et tintent pour les peines
Et chaque heure pour dire : « Allez, l’heure est sereine »
Ces notes coutumières, nostalgiques et tendres

Résonneront un jour, pour moi, dans le vallon.
Elles s’égrèneront, portées par l’aquilon
Et je serai le seul à ne pas les entendre.

                                                                                                     André Sevain 
 

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