À travers son programme Ibériades, Manolo Gonzàlez nous présente Boléros, Tangos
et Romances. Dans cette musique, l’influence du Jazz et de la polyphonie savante,
«classique», nourrit et sert merveilleusement une tradition populaire hispanique très caractéristique, que Manolo
González a hérité de sa famille, de ses parents (républicains espagnols,
réfugiés politiques) et qu’il nous dispense à travers ses multiples expériences
musicales, transversales s’il en est, du Moyen-âge au Jazz, de la Renaissance
au Tango, à la création contemporaine. Mais avant tout, ici, on navigue,
sans escales, entre deux tendances, le «moderato cantabile » et le « swing
latin »; deux palettes, deux couleurs très caractérisées pour un répertoire
original qui distille Boléros & Tangos dans une alchimie andalouse irriguée
de Jazz.
Cette musique, avec la bénédiction de la sainte patronne des marins de Séville
:
Santa Maria de los Buenos Aires (évidemment : les « Vents favorables »), nous
embarque, tel Magellan, outre-Atlantique, dans un voyage « Pacifique », musical
et poétique, de la Vieille Castille à l’Andalousie, puis La Havane, Mar del
Plata,
Buenos Aires, Rio... Serres !
L'appel de l'ouest est fort ! Très fort ! Nous avons quitté la Saintonge à l'automne 2017 pour les horizons verdoyants du Quercy… Deux belles, très belles années, nous avons respiré dans le vallon abrité de Lanau à Montcabrier. Trois hivers plus loin, nous revoici sur les bords de la Charente, tout près de la côte, au pays de Pierre Loti et des Demoiselles !
jeudi 21 mars 2024
Concert exceptionnel !
samedi 9 mars 2024
Le Printemps des poètes : 25e édition
La grâce
Elle marche avec aisance avec nonchalance
Elle ignore la raideur elle n’est pas les angles
Le droit qui régit tout le corset qui étrangle
Chaque femme l’a reçue en don à sa naissance
Les hommes qui s’en paraient dans la petite enfance
Ont dû s’en séparer quand vînt l’adolescence
Toujours elle les subjugue quand il la voit passer
Comme l’évocation de ce bonheur passé
La grâce est dans la danse qui fait bouger les hanches
Dans tous les mouvements qui déplacent les lignes
Dans la voile toute blanche qui flotte comme un cygne
Sur l’océan salé qui roule en avalanche
Dans la fleur qui se penche sans perdre l’équilibre
Dans les cieux dans le vent dans l’oiseau qui vole libre
Alain Hannecart
L'été entre Rochefort et Oléron
Les lutins d'abord ! Trois (Jean-Lou n'est pas encore en congé !) d'abord arrivés en voiture (fatiguée !)… Dégustation d'huî...

-
Une semaine dans le Pays d'Auge Partir à la mi-juin, l'été a envie de s'installer direction du Calvados ; se poser dans le gîte ...
-
Premier automne à Rochefort, l'été de la Saint-Martin nous réjouit… Sonnez sonnez vieux sacristains Si le temps n'est plus aux perve...
-
Lumières… Lumières… Quand le soleil, le soir, Sur les Îles Sanguinaires, Veut nous dire au revoir : C’est ...